Lydie Huau – thérapeute manuel
La pratique du rebouthérapeute
Le rebouthérapeute est à l’écoute, en cherchant, en premier lieu, l’origine de la douleur évoquée par le patient.
Il prend le temps de l’observer, en examinant ses gestes et postures qui peuvent donner des indices sur les zones à traiter.
Les mains sont le principal outil du rebouteux pour normaliser. Il cherche à réaligner les structures anatomiques dans le respect des amplitudes physiologiques du patient.
Une à deux séances sont nécessaires pour obtenir une amélioration significative des symptômes.
Pour des troubles chroniques, des séances régulières peuvent être envisagées.
A titre préventif, une séance est conseillée une fois par an.
Lydie Huau – Thérapeute Manuel
La charte du rebouthérapeute
Le rebouthérapeute n’est pas médecin.
Ses soins ne se substituent pas à ceux du praticien. Il ne prescrit pas de médicaments, ne peut modifier ou faire arrêter un traitement médical.
Le rebouthérapeute est tenu au secret professionnel.
Il connait ses propres limites et encouragera toujours son patient à consulter son médecin en cas de trouble suspect, ou le redirigera vers une autre thérapie plus appropriée si besoin.
Lydie Huau – Thérapeute Manuel
Le rebouthérapeute peut traiter
Douleurs de dos d’origine articulaire :
les rotations de cervicales, dorsales, lombaires, du bassin, du sacrum, blocage des côtes, du sternum
Douleurs de dos d’origine musculaire :
le lumbago, torticolis…
Douleurs liées aux tendinites :
dans les épaules, coudes, poignets, genoux, pieds
Douleurs liées aux entorses :
la cheville, genou, poignet…
Douleurs relatives aux nerfs :
la sciatique, cruralgie…
Douleurs ORL :
les acouphènes, otites à répétition….
Douleurs crâniennes :
les migraines, sensibilité du visage…
Douleurs viscérales :
les brûlures d’estomac, constipation, règles douloureuses…
Autres douleurs :
les épines calcanéennes, talon d’Achille …
Bien-être – Détente :
stress, fatigue, troubles alimentaires, du sommeil, dépendance au tabac …
Pratiques
Lydie Huau – thérapeute manuel
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Elles viennent détecter, ressentir les tensions et les apaiser. Mon toucher s’adapte à la profondeur de la localisation du trouble, au seuil de sensibilité du patient et à son état métabolique.
Mes mains -
Elle peut être envisagée, mais n’est pas systématique. Elle active considérablement la circulation sanguine et accélère le processus de désintoxication des tissus.
La pose des ventouses -
Ce sont des feuilles d’armoises séchées qui, en se consumant, accélèrent la désintoxication des tissus.
Le moxa -
C’est une méthode proche de l’acupuncture qui, à l’aide d’un faisceau infrarouge, vient agir sur certains points réflexes du corps pour rééquilibrer l’organisme
la luxopuncture
Lydie Huau – thérapeute manuel
Regards
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Xdécembre
Offrir et s’offrir un cadeau
Généralement lorsque l’on souhaite offrir un cadeau, on pense à la personne, à ce qu’elle aime, ce qui pourrait la combler, la surprendre.
Qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui offrir ?
Quelques fois on se torture avec cette question essentielle car on veut que ce cadeau plaise, on veut que la personne ait les yeux qui pétillent en le découvrant, on le veut unique. Bref, on ne veut pas se louper 😉
Offrir un cadeau qui amène du bonheur est le but de cet acte, mais pas seulement…
En effet, en offrant un cadeau qui a demandé des heures (pas toujours !) de cogitation, on veut également s’apporter ce sentiment de joie à nous-même. Qui est-ce qui a le sourire aux lèvres quand il voit que la personne découvrant son cadeau, l’adore ?! C’est bien celui qui offre.
Offrir un cadeau c’est s’offrir un cadeau à soi-même
Bonne cogitation à tous, vous préparez votre cadeau 😉
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Xnovembre
L’importance de l’entretien verbal
Lorsqu’une personne vient me voir, peu importe sa demande, aussi singulière soit elle, elle cherche le soulagement.
Dans toutes demandes, il convient de poser un ensemble de questions qui permettent de remettre la venue des symptômes dans un contexte familial, professionnel, interroger leurs anciennetés, leurs fréquences.
Ce premier temps d’échange verbal est primordial tant dans le partage des éléments de la problématique que dans la manière dont la personne énonce ceux-ci. Le fait de mettre des mots sur ses douleurs, de s’entendre les dire, permet de les regarder en face. Cette verbalisation peut être chargée d’émotions. Le corps les exprime par des pleurs, de la transpiration, des rougeurs sur le visage et le cou.
Cette étape fait partie intégrante du processus de soins.
Puis arrive la phase du travail avec mes mains qui viennent soulager les tensions physiques parfois insoupçonnées.
Au plaisir de vous revoir…
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Xoctobre
Que ça fait du bien de rire!
Vous vous êtes déjà dit cette phrase : « Que ça fait du bien de rire ! » avec, encore le sourire aux lèvres, et même peut-être, avec, encore la larme au coin de l’œil.
Rien que le fait de repenser ou de raconter la situation hilarante cela nous fait retomber dans le même état : le rire explose de notre corps.
Une fois « la crise » passée, un sentiment de bien-être nous envahit. On se sent léger, joyeux.
Vous trouvez que vous ne riez pas assez ?
Plusieurs propositions s’offrent à vous :
Vous pouvez aller voir des spectacles d’humoristes, des pièces de théâtres,…
Vous pouvez aller vers des personnes qui ont le rire facile (ça aide ;))
Et surtout vous pouvez porter un regard différent sur les choses en faisant preuve d’observation, d’attention aux petits détails sur une personne, au mot de trop, à une situation périlleuse… Les supports du rire sont quasi infinis.
Il suffit d’ouvrir les yeux sur le monde avec cette envie de rire. 😉
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Xseptembre
l’art de ne rien faire !
Qu’est-ce que l’on fait quand on ne fait rien ? Lors de mon précédent Regard j’avais soulevé cette question. Ce mois-ci je vais tenter d’apporter une réponse.
Il est difficile de ne rien faire car nos pensées nous emmènent inlassablement vers quelque chose.
Vers le passé, dans lequel on peut plonger dans nos souvenirs heureux ou douloureux.
Vers le futur, qui nous amène à être dans l’action, dans le faire, dans les cogitations.
Donc, même lorsque l’on dit que l’on ne fait rien, nos pensées sont toujours en ébullition. Pour reposer notre cerveau, il convient de diminuer les stimulations extérieures comme les bruits, les discussions, les écrans, pour ramener nos pensées à ce que l’on fait, à ce que l’on pense, à ce que l’on ressent, dans le présent.
Cela peut passer par une écoute active comme écouter le chant des oiseaux, percevoir leurs différences, se laisser porter par le bruit du vent.
Cela peut passer par l’observation de la nature : regarder les feuilles des arbres danser sous une légère bise, regarder avec plaisir les parades amoureuses des pigeons, les allers retours des écureuils qui viennent glaner des noix ou des noisettes, les fourmis transporter un grain de riz plus lourd qu’elles…
Cela peut passer par la méditation : ne rien attendre et se laisser surprendre par des sensations corporelles.
En fait, ne rien faire est un véritable art de vivre 😉
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Xaoût
Vive les vacances !
Les vacances sont toujours les bienvenues. Encore faut-il qu’elles soient réussies !
Mais que sont des vacances réussies ?
Que l’on ait envie de ne rien faire (mais qu’est-ce que l’on fait quand on ne fait rien ? ça pourrait être le sujet d’un prochain regard 😉 )
Que l’on veuille passer ses journées sur la plage à profiter du soleil,
Que l’on se donne l’objectif de crapahuter les montagnes,
Que l’on veuille partager son temps avec ses amis ou sa famille,
Que l’on ait envie de découvrir le monde, en enchainant les sorties, les visites,
Je pense que l’on peut parler de « vacances réussies » à partir du moment où l’on s’est fait plaisir, que l’on a répondu à nos envies et que l’on a respecté notre propre rythme.
De mon côté, à partir du 12 août je me lance dans l’aventure des vacances 😉
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Xjuillet
Petit coucou aux ventouses!
Et oui ! Cela faisait bien longtemps que les ventouses n’avaient pas été mises à l’honneur dans un de mes regards.
Elles peuvent être redoutées par certains, plébiscitées par d’autres…
Cette technique ancienne suscite des appréhensions sur sa pose : ça va brûler ? ça va faire mal ?
Non, ça ne va pas brûler même si on utilise un coton enflammé pour chasser l’air de la ventouse avant sa pose.
Oui, la ventouse aspire la peau donc ça tire, ça pince un peu la peau sur les 2 premières minutes.
Dans les discussions avec mes patients les plus âgés, ils évoquent souvent leur utilisation pour traiter les bronchites. Pour ma part, je trouve que la pose des ventouses est appropriée lorsque les tensions musculaires concernent des zones étendues et génèrent des douleurs intenses.
Leur pose apporte un relâchement global des muscles en question.
Petite précision : je n’utilise les ventouses qu’avec l’approbation de la personne.
Alors ça vous tente ? Pourquoi s’en priver si elles apportent du soulagement ?
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Xjuin
Qu’est-ce qui fait « famille »?
Lorsque les enfants sont encore auprès de nous, sous le même toit, la notion de famille nous parait une évidence. On partage les repas ensemble, on échange sur le déroulement de nos journées, on organise les sorties en fonction des envies des uns et des autres. On vit les émotions de chacun au jour le jour.
Au fil des ans, les enfants grandissent, s’émancipent. La maison se vide de cette agitation dynamique. Les discussions évoluent. Et du coup, se pose la question : qu’est ce qui fait famille ?
La réponse est beaucoup moins évidente.
Peut-être qu’une partie de la réponse commence par ; accepter de ne plus être ensemble au quotidien. Accepter que chacun vive sa propre vie. Se dire que, même si on ne se parle pas tous les jours, ce n’est pas pour autant qu’on ne pense pas à sa famille. On continue de s’aimer même si la distance physique est réelle.
Oui mais à un moment donné, c’est bien de s’appeler et de se voir quand même…
Et là, une autre partie de ma réponse apparait : organiser des moments de retrouvailles. Qu’est-ce que c’est bon de se retrouver, de partager ensemble cette envie de se retrouver. Les rires fusent ! La bonne humeur transpire de chacun d’entre nous. Ce sont des moments précieux qui poursuivent la construction de notre famille.
Voilà, aujourd’hui la définition de ma famille. C’est une définition à géométrie variable qui, sans doute, sera différente dans quelques années.
Et pour vous ? Qu’est-ce qui fait famille ?
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Xmai
Savoir s’adapter
Que l’on passe de températures polaires à des températures caniculaires,
Que l’on soit dans un pays étranger avec une autre langue, une nouvelle culture, une autre alimentation,
Que l’on cotoie des personnes très actives, des personnes malades, des personnes égocentrées, des personnes introverties, des personnes enjouées,
Le maître mot est : l’Adaptation.
Etre capable de développer cette aptitude, c’est assurément la garantie de laisser la place à sa créativité, son intuition. C’est être dans cette ouverture aux autres. Rien ne devient compliqué à gérer.
Prendre conscience de cela est essentiel pour soi, même si, ne faisons pas l’autruche, on garde certaines failles qui restent à travailler. 😉
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Xavril
La pêche du printemps!
Oui oui ! Je parle bien de ce nouveau fruit qui arrive dès que le soleil du printemps vient nous réchauffer, dès que la nature se réveille avec ses fleurs, ses panaches de couleurs, ses camaïeux de verts.
C’est la pêche du printemps !
Elle nous redonne beaucoup d’énergie et d’envies : danser, bouger, chanter, sauter, voyager, sortir…
Elle est à consommer sans modération.
PS : J’en ai croqué quelques morceaux et me voilà partie pour quelques jours de congés. Je serais de retour le 15 avril. Ce fruit a des vertus incroyables 😉
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Xmars
Abécédaire de nos émotions
Lors d’un atelier d’écriture, j’ai été amenée, en 15 minutes, à me creuser les méninges pour aller chercher au fond de moi, des mots qui viendraient me parler au travers du thème des émotions sous forme d’Abécédaire.
J’avoue que j’ai habilement détourné l’exercice sur les lettres K Q W X Y et Z comme Ze sais pas 😉
Mises à part ces lettres, j’ai vraiment joué le jeu de laisser transparaitre les émotions qui m’animaient. En relisant ma production, je me suis aperçue que chaque mot trouvé parle de moi, plus que je ne l’aurais cru. Ca m’a fait l’effet d’un ricochet : je produis des mots, ils me surprennent, ils disent des choses que je n’aurais pas osé dire mais ils viennent de moi.
C’est fou comme ça fait du bien. C’est pourquoi je vous invite à tester cet exercice chez vous. Laissez-vous surprendre 😉
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Xfévrier
Rien à dire…
Ca vous est déjà arrivé de dire ou t’entendre :« je n’ai rien à dire ».
Je trouve amusant de décortiquer cette phrase car on pourrait penser que la personne qui énonce ces mots à un cerveau vide, sans opinion, sans émotion. Alors que, justement, cette phrase cache un trésor !
Et quel trésor ? Un trésor d’opinions teinté d’émotions. Petite explication… On peut dire « je n’ai rien à dire » par agacement, avec une colère qui ronronne au fond de nous et que l’on retient. On peut dire également « je n’ai rien à dire » par peur d’exposer ses opinions devant des personnes avec qui on ne partage pas les mêmes points de vue, par peur de ne pas trouver les « bons » arguments pour défendre sa position.
Mais lorsque l’on pose un cadre bienveillant de l’échange comme : « Vas-y justement, je t’écoute, on en discute… », on peut être surpris d’entendre la personne développer sa pensée, donner des explications à ses réticences, y mettre du cœur, du corps : les mains s’agitent, le corps n’est pas enfoncé au fond d’une chaise, il s’anime.
Après cette longue discussion, d’échanges approfondis, la personne du « je n’ai rien à dire » en ressort, peut-être plus légère comme si les mots, les émotions pèsent lourds lorsqu’ils ne sont pas exprimés.
Voilà, je n’ai plus rien à dire 😉
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