Tout le monde en veut…

septembre

Et oui, chaque fin de soirée est suivie d’une nuit de sommeil. C’est comme ça !

Notre cerveau a besoin de ce temps de repos pour se ressourcer, reprendre des forces. Mais il n’y a pas que lui. Pensez à vos muscles.

Eux aussi ont besoin de ce sommeil réparateur pour avoir une détente maximale, favoriser l’élimination des toxines pour se réveiller en pleine forme.

Sur ce, bonne nuit à tous !

Etre acteur de sa santé

août

Bien sûr on a tous besoin, un jour ou un autre, de s’en remettre entre les mains d’un thérapeute, pour un problème physique ou psychologique.

Mais il est important de garder à l’esprit que nous  sommes le mieux placés pour savoir ce qui nous convient pour être bien dans notre corps et dans notre tête.

Comme se faire un mini régime après un repas copieux pour se sentir un peu moins ballonné.

Comme se coucher plus tôt le lendemain d’une soirée qui s’est prolongée pour retrouver toute son énergie.

Comme se préserver des moments de détente après avoir connu des périodes de stress.

Comme trouver du réconfort auprès d’une personne que l’on aime pour atténuer un sentiment de peur, de tristesse, d’angoisse.

Bref, les exemples sont nombreux. Ils nous rappellent que nous avons nos propres ressources. Elles sont juste là.

C’est un sacré rôle que nous avons : être acteur de notre santé.

Notre cerveau nous trompe!

juillet

Et oui, notre cerveau peut nous tromper.

Plusieurs exemples pourraient illustrer cela, mais arrêtons-nous sur celui de la boiterie.

Suite à un choc, une hanche, un genou, une cheville peuvent être douloureux. La personne boite. Si cette douleur perdure dans le temps, le cerveau enregistre cette démarche boiteuse comme normale. Lors d’une séance de rebouterie, le thérapeute manuel intervient sur les zones douloureuses. La personne exprime son soulagement. La douleur n’est plus là. Malgré cela la personne continue à boiter.

En fait, la personne doit réapprendre à marcher sans boiterie. Pour cela elle doit rééduquer son cerveau en réfléchissant à sa façon de se déplacer.

Un vrai travail !

L’élasticité du temps

juin

La question du temps est vraiment étonnante.

Ne vous est-il jamais arrivé de trouver le temps trop court lorsque vous viviez un moment agréable que vous auriez envie de prolonger  ?

A l’inverse, n’avez-vous jamais vécu un moment désagréable qui semble s’éterniser, comme si le sort s’acharnait sur vous ?

On peut ressentir ses deux impressions lorsque l’on se retrouve entre les mains d’un thérapeute manuel : une détente musculaire sur un corps peu contracté pourrait durer encore et encore, alors qu’on aimerait que la zone douloureuse soit traitée rapidement.

En règle générale, après une séance de rebouterie, les personnes soulagées disent : « j’aurais dû venir plus tôt… ».

C’est juste une question de temps !

Plaisirs printaniers

mai

Youpi, le printemps est de retour ! La nature se réveille. Tous nos sens sont en éveil pour écouter les oiseaux chanter à longueur de journée, se laisser surprendre par des bourgeons qui poussent à vue d’œil, sentir la bonne odeur de l’herbe fraichement coupée.

Dans ce contexte parfait pour rêvasser, il faut parfois en passer par des étapes douloureuses. En effet, lorsque l’herbe prend de l’altitude, cela rime avec une sortie sympathique de la tondeuse à gazon. Et là, cela peut se gâter…

Les muscles de nos bras sont sollicités : ils serrent fermement la poignée, ils reçoivent les vibrations de l’engin, et tout cela pendant un temps certain. La tendinite n’est pas loin.

Nouveau proverbe capellaudain : Qui profite de l’herbe haute, met ses bras au repos.

Coucou !

avril

Je me présente. Mon nom est  Piriforme. Je suis un muscle qui habite dans la profondeur de la fesse.

J’ai une spécialité : lorsque je me contracte de trop, mon propriétaire se plaint souvent d’un mal situé en bas du dos. Chut ! il ne sait pas que c’est moi qui suis souvent impliqué dans ses douleurs. Je sais me faire discret.

Ce petit jeu de cache-cache peut durer un petit moment avant que mon propriétaire ne se décide à demander de l’aide. Quand il va voir le thérapeute manuel, je n’aime pas ça parce qu’il me trouve toujours !

 Fini le jeu.

Ecoutez-moi !

mars

Par un beau matin d’hiver, notre corps se réveille avec l’impression précoce, de se sentir fatigué. Il aimerait paresser un peu plus longtemps au lit. Mais nous savons que ce n’est pas possible car un tas de choses à faire nous attend. Alors, on n’écoute pas ce corps flemmard. Nous enchainons notre journée tâche après tâche.
Mais notre corps n’oublie pas sa fatigue. Pour se faire entendre, il est parfois obligé d’employer les grands moyens comme des vertiges, des blessures sérieuses qui nous obligent à ralentir.
Quand on vous dit qu’il faut écouter le langage du corps…

Ca coule de source

février

Tout ce qui est sur Terre est soumis à la pesanteur : l’eau prend sa source dans les montagnes pour rejoindre les mers ou les océans.Il en est de même pour le sang qui coule dans nos veines qui est attiré, en permanence, vers le bas c’est-à-dire nos jambes.
Avec l’âge mais aussi avec un facteur d’hérédité, d’hygiène de vie, d’alimentation, le sang remonte moins bien vers le haut du corps.
Le travail du rebouteux va favoriser ce retour veineux et apporter ainsi du soulagement chez le patient.

Les bougies d’oreille

janvier

Comment ? Qu’est-ce que vous dites ?
Si vous avez un problème d’audition peut-être avez-vous des bouchons de cérumen dans les oreilles.
Il existe une méthode plutôt méconnue, mais efficace pour enlever ces sécrétions : ce sont les bougies d’oreille.
En brulant, la bougie posée sur l’oreille, aspire le cérumen. On pourra en reparler, si vous le souhaitez, lors d’une prochaine rencontre.
A bon entendeur, Bonne Année et très bonne santé
Comment ?
BONNE ANNEE !

Ca fait mal mais ça fait du bien

décembre

En règle générale lorsqu’une personne vient consulter le rebouteux c’est parce qu’une douleur devient trop gênante, trop fatigante à supporter, trop invalidante dans le quotidien, trop…
Pour soulager la personne, le rebouteux va explorer la zone concernée. Cela peut être…douloureux. Mais il arrive que certains patients décrivent leurs ressentis de manière surprenante : « ça fait mal mais ça fait du bien ». C’est ce qu’on appelle une douleur exquise.

Pas toujours facile de comprendre la logique entre l’information transmise par le cerveau et l’interprétation sensitive que l’on en fait.