Chasse aux ventouses !

avril

 

Voici une variante de la fameuse chasse aux œufs de Pâques.

Couramment nos grands-parents utilisaient les ventouses pour soigner les bronchites.

Avec le temps, cette pratique a quasiment disparu. Et les ventouses ?

Généralement elles n’ont pas disparu mais se cachent dans nos greniers.

Alors, investissez les greniers comme terrain de chasse, n’hésitez pas à me donner de vos nouvelles si vous trouvez un trésor.

Bonne chasse!

 

Histoire ordinaire d’un tendon

mars

C’est l’histoire d’un tendon qui travaillait beaucoup. Il n’arrêtait pas. Toute la journée, il faisait des gestes puissants, répétitifs. Un jour, il s’est senti vraiment fatigué, mais comme il était courageux, il a poursuivi sa tâche.

Puis le temps passant, la fatigue ne le quittait plus. Il décida d’en informer son patron, en lui demandant une journée de repos. Mais son patron, pris dans les exigences de travail, n’a pas tenu compte de sa requête. Le pauvre tendon a poursuivi tant bien que mal son labeur. Le patron sentait que le tendon était moins productif, il décida de lui donner des médicaments pour le calmer et moins entendre ses plaintes.

Avec ce traitement, le tendon se sentit mieux. Il pouvait retourner à la tâche sans fatigue. Il ne se plaignait plus à son patron.

Au bout d’une semaine, le patron décida d’arrêter les médicaments…Rapidement le tendon ressentit une fatigue intense. Il comprit que son patron ne voulait pas l’entendre alors il décida d’employer les grands moyens : se mettre en grève ! (sous forme de tendinite).

Cet état de grève obligea le patron à réduire son activité et à écouter le tendon dans sa douleur. Il l’emmena voir un thérapeute manuel pour lui apporter la détente nécessaire. Le thérapeute manuel a également expliqué au patron l’importance d’être à l’écoute de ses tendons (entre autres…)

 

Notre oeuvre d’art!

février

Oui, je n’irais par quatre chemins : notre corps est notre œuvre d’art.

Voici la démonstration que je vous propose :

Chaque œuvre d’art est unique, son créateur l’a façonnée avec une intention, comme vouloir transmettre un message, mettre en avant ce qui est beau pour lui.

Et le parallèle avec notre corps me direz-vous ? Et bien notre corps est unique, complexe, nos parents l’ont conçu et nous, nous le façonnons, nous le présentons aux autres, nous cherchons à mettre en avant ce qui est beau chez lui au travers de nos vêtements, de notre coiffure…

Et notre beauté intérieure me direz-vous ?

Dans chaque œuvre d’art existe la notion de beauté qui est subjective, certes, lorsque l’on parle de beauté physique, mais qui fait l’unanimité lorsque l’on aborde les « beaux » sentiments, les valeurs positives qui nous animent : amour, partage, écoute…

C’est en cela que la beauté de l’Homme est incontestable.

Une nouvelle année commence!

janvier

Et oui, voilà déjà trois années que j’ai le plaisir d’exercer ce beau métier de rebouteux. Je profite de cette période de vœux pour vous remercier de votre confiance.

C’est toujours un vrai plaisir d’échanger avec vous, de vous soulager.

Je vous souhaite plein de petits bonheurs qui viendront ponctuer votre quotidien, de sourires pour détendre vos zygomatiques.

Et surtout… une bonne santé.

 

A bientôt

Il y a toujours le soleil derrière les nuages!

décembre

Certains jours, la vie ne nous fait pas de cadeau.

Toute personne connait ça à un moment ou à un autre de sa vie.

Mais laissons nous surprendre ! Lorsque l’on pense que l’on a vécu le pire, la vie nous réserve encore de belles surprises.

Et oui, il y a toujours le soleil derrière les nuages !

Mémoire du corps

novembre

Notre corps a une très grande mémoire. Si, si. Nous avons tous sur notre peau des cicatrices liés à notre enfance : vous savez la cicatrice sur le genou qui nous rappelle notre magnifique chute de vélo ou bien la marque blanche sur le front… souvenir d’un bouton de varicelle…

La liste est longue et elle s’allonge avec notre expérience de la vie.

Cette mémoire s’applique également à l’intérieur de notre corps. Lorsque l’on demande un effort important à nos muscles, notre corps s’en souvient. C’est pourquoi à la fin d’une journée très intense, alors que l’on exécute un simple geste, comme baisser la tête, on ressent une douleur aigue. La contracture est là, voire même un désaxage de vertèbre.

Et là on se dit ; « Pourtant j’avais rien fait ! »

Oui mais le corps se souvient.

C’est magique?

octobre

Il peut arriver qu’un os (ou même plusieurs) de notre cher squelette se déplace légèrement pour nous infliger des douleurs ou une gêne. Certains mouvements deviennent alors impossibles ou se font péniblement.

Lorsque le thérapeute manuel vient remettre cet os dans son axe, comme par magie, si je puis dire, la douleur ou la gêne disparait. Mais, désolé pour les grands enfants, ce n’est pas magique, c’est purement mé-ca-ni-que !

On mettra tout le monde d’accord pour dire que le principal est de ne plus avoir mal !

Chacun a son chemin de vie!

septembre

Lorsque l’on est un enfant, on suit le chemin que nos parents ont traçé pour nous. Ca s’appelle l’éducation.

Lorsque l’on devient adolescent, jeune adulte, on n’a qu’un seul souhait : tracer son propre chemin, se différencier de ses parents.

Mais quel chemin ?

Il arrive que, même adulte, on hésite sur le chemin à prendre: faire une activité pour faire plaisir à une personne qu’on aime, faire un métier pour répondre à une attente sociétale…

Devant les multiples choix que la vie nous propose, il arrive que l’on se trompe. Comment le sait-on me direz-vous? Et bien lorsque vous sentez que vous faites des choses qui ne sont pas en accord avec ce que vous ressentez au fond de vous-même.

Etre en accord avec ses propres valeurs, c’est découvir et poursuivre son propre chemin de vie.

Bonne route à vous!

Un peu de fraicheur

août

On est jamais content me direz-vous ?… En hiver, il fait trop froid. Notre corps réclame du chaud. En été, il fait chaud parfois trop chaud. Notre corps peut en souffrir. Il cherche par tous les moyens à se rafraîchir, s’hydrater… Avez-vous déjà eu l’idée de vous réfugier dans le frigo ? Sucer des glaçons ? Ou de manière moins extravagante, de piquer une tête dans la piscine ?  Bref il nous arrive de frôler la surchauffe (intellectuelle également !)

En fait, notre corps aime la stabilité des températures pour pouvoir travailler correctement et assurer ses différentes tâches : physiques, mentales, vitales. Il travaille en permanence.

Conclusion : Notre corps ne connait pas le farniente…

Le culte du plaisir

juillet

Faire une activité physique pour garder la forme est une chose, voire une bonne chose.

Plusieurs options sont possibles.

Vous pouvez pratiquer, par exemple la course à pied de manière intensive, exigeante envers vous-même : 5 ou 6 sorties par semaine, participer à des marathons, calculer sa fréquence cardiaque maximum, sa vitesse maximum, être rigoureux sur son alimentation… C’est un choix de vie.

Vous pouvez également pratiquer la course à pied en mode détente. Faire une, deux, trois sorties par semaine (ou plus) à son rythme, sans chercher la performance, en profiter pour admirer la nature, prendre un bon bol d’air… C’est également un choix de vie.

Le principal est de PRENDRE PLAISIR !