A votre santé !

janvier

Ce début d’année 2020 s’annonce plutôt excitant en nouveautés. En effet, l’année 2020 marquera pour moi, le début d’une formation en fasciathérapie. Pour les plus curieux, je vous invite à aller voir ce qu’est cette discipline sur internet : petit indice ça n’a rien à voir avec le visage…

Cette formation va me permettre d’enrichir mon toucher et donc mes techniques, pour soulager vos douleurs.

Je compte bien vous faire partager mes connaissances au fur et à mesure de l’avancement de ma formation.

En attendant, je vous souhaite une très bonne santé.

La magie des lumières!

décembre

L’hiver synonyme de froid, de journées courtes où le soleil devient timide, où les nuits s’étirent de tout leur long. Profitons de cette période où les lumières donnent une ambiance chaleureuse aux villes, aux villages, à nos maisons. Chacun participe à cette féérie en allumant une lumière douce dans son intérieur. On se sent bien chez soi. C’est la magie des lumières. C’est un petit bonheur tout simple, facile à partager.

A vous d’allumer votre petite étincelle !

Clair comme de l’eau

novembre

Qui n’a jamais voulu avoir des pensées claires, construites, organisées qui s’expriment ou se mettent en œuvre facilement ?

Ca donne envie n’est-ce pas ? N’exagérons rien, il peut nous arriver d’avoir l’esprit clair et de dire ou faire des choses censées, fidèles à nos propres valeurs mais (car il y a toujours un mais)…

Nos pensées profondes peuvent être étouffées par la pensée d’un groupe ou par des personnes influentes sur nous. On suit alors notre chemin de vie, tracé par des décisions qui ne sont pas le reflet de nos valeurs. Au fil du temps on ne se sent pas bien, on perd le sommeil, un état dépressif peut pointer le bout de son nez. On peut mettre plusieurs mois voire plusieurs années avant de s’en apercevoir ! (il n’est jamais trop tard)

A ce moment là, la prise de conscience peut être énorme et tout devient clair comme de l’eau. On se reconnecte à nous-même. Ca fait un bien fou. Tout devient plus léger.

Suivez votre chemin !

Agresseur ou agressé?

octobre

Une relation peut fonctionner tel un cercle vicieux…

On perçoit l’autre comme l’agresseur quand il empiète sur mon domaine, en posant des actes qui vont à l’encontre de ce que j’avais entrepris.

On perçoit l’autre comme l’agresseur quand il me heurte par ses idées qui prennent à contre-pied mes valeurs.

Alors on a deux façons de réagir :

Soit on entretient ce cercle vicieux en devant l’agresseur. Dans ce cas, on ne cherche pas à comprendre l’autre, mais plutôt à imposer sa vision. Autant dire que cette posture est vite insupportable. Elle est épuisante émotionnellement. Elle n’est en rien constructive.

Soit on prend le temps, parfois avec l’aide d’une tierce personne, d’identifier ce qui nous anime. En se disant par exemple : « Pourquoi cette personne déclenche toujours chez moi cette colère ? » A force d’y réfléchir, on peut mettre le doigt sur la cause primaire qui nous appartient. C’est un moyen très efficace pour sortir de ce cercle vicieux.

Alors prenons le temps de regarder plus attentivement notre relation à nous-même, ca ne pourra qu’enrichir notre relation aux autres.

Bonne journée !

On fête quoi ?

septembre

On fête l’arrivée du week-end, la diplôme du petit dernier, le passage à la retraite, les anniversaires, la fin des vendanges, la belle récolte d’haricots verts, la plantation de tomates, l’achat d’une nouvelle voiture, une promotion au boulot, une belle journée d’été, les premiers pas de bébé, des retrouvailles…

La liste est longue…

Bref, vous l’aurez compris, tout peut être prétexte à trinquer en famille ou entre amis. C’est primordial pour se faire du bien en profitant de ces moments de plaisir, de partage.

Alors fêtons !

Rien que pour faire plaisir!…

août

Qui connait ces demandes insistantes de nos mères ou grand-mères, remplies d’amour : « Reprends un peu de mon gâteau ! », « je l’ai fait pour toi parce que je savais que tu aimais ça » ?

La nourriture et plus précisément la préparation d’un plat demande du temps (parfois beaucoup de temps !) et de l’écoute. Pour la personne qui prépare les repas, qu’ils soient élaborés ou non, elle pense aux personnes, à leur goût, leur santé ; pas trop de sel, pas trop épicé, pas trop de cannelle…

Quelques fois, c’est un véritable exercice d’équilibriste pour satisfaire tout le monde !

Alors comment refuser ces marques d’attention lorsque l’on veut faire attention à son poids, tout en ne voulant vexer la personne ?

C’est un sujet délicat, c’est vrai. Cela peut conduire à des disputes lorsque l’incompréhension s’installe : incompréhension liée à des habitudes familiales, culturelles.

Le tout est de trouver une « recette » qui conviendra à tous (j’en suis sure) si elle est remplie d’amour et d’écoute.

Vive le changement !

juillet

L’éducation de nos enfants a bien changé au fil des ans. Même si l’autorité parentale reste nécessaire voire indispensable pour leur offrir un cadre sécurisant, les rapports entre parents et enfants ont évolué et plutôt en bien à mon sens.

Petit exemple : Lorsqu’un parent dit « non » à son enfant, aujourd’hui celui-ci dit « pourquoi ? » ce qui oblige le parent à expliquer sa position. Quelques fois en donnant ses arguments le parent lui-même se rend compte que son « non » n’est pas si justifié et peut aller vers un « oui si ». Ca s’appelle le dialogue.

Autre exemple : Avant (il y a très longtemps !) le parent disait « Donne-moi le pain ». Aujourd’hui le même parent dit « Tu peux me donner le pain s’il te plait » Ca veut dire la même chose mais avec du respect. Ca passe beaucoup mieux. On peut dire que cela adoucit les relations.

Grâce à ces changements positifs dans les relations parents-enfants, ces mêmes enfants deviendront des adultes ouverts aux échanges, prêts à argumenter dans de multiples situations.

Vive le changement !

Allez courage!

juin

On a déjà entendu une personne dire : « Comme tu es courageux ! » Mais c’est quoi le courage ? On pourrait dire que c’est la force que l’on trouve au fond de nous pour avancer, transformer sa vie.

L’acte courageux n’est pas forcément exceptionnel mais demande des efforts perpétuels. Une personne qui vit avec un bégaiement, doit quotidiennement apprendre à le dompter. Quel courage !

Alors sommes-nous courageux ? Arrivons-nous à aller au fond de nous chercher dans nos ressources pour faire face aux difficultés de la vie? Peut-être que quelques fois il faut insister, persévérer pour atteindre notre objectif…

Allez courage !

Poids plume ou de plomb?

mai

Mai-2019

Il est fréquent de confondre les notions de poids et de volume.

Les personnes qui expérimentent les séances de luxopuncture pour la perte de poids vivent au sens propre, à l’intérieur de leurs corps, cette différence.

En effet, après quelques séances et des kilos perdus, la personne décrit ses ressentis. Elle exprime un mieux-être, « plus de légèreté », « moins gonflée », « moins serrée dans ses vêtements ». Elle attend avec impatience (et une touche d’inquiétude) le fameux passage sur la balance. Et là, surprise… La personne a perdu quelques 200 grammes.

Que s’est-il passé ? Pourquoi si peu alors que la personne n’a pas fait d’excès, a continué à suivre attentivement le contenu de son assiette ? Et bien après avoir éliminé, le surplus de graisses lourdes dernièrement stockées, le corps a encore un autre travail, celui de redistribuer les graisses fluides (apportées par une alimentation saine) dans l’ensemble de la masse musculaire, et plus seulement sur le ventre ou les cuisses !

Les muscles se densifient. Ce sont eux qui prennent du poids. Tant mieux, ils seront plus résistants. Dans le même temps, la silhouette se modifie puisque les graisses se répartissent mieux sur l’ensemble du corps.

Si vous avez bien suivi mon raisonnement, l’idéal est, comme le dit France Guillain : « être le plus lourd possible avec un corps le plus mince possible en fonction de notre ossature ».

Pour quoi tu te lèves le matin

avril

Certains d’entre nous trouveront cette question idiote car la perspective de leur journée est bien remplie entre le travail, les enfants, le ménage, les courses. Bref, pas beaucoup de temps pour se poser et se pencher sur l’essentiel : Quel sens je donne à ma vie ?

Cette question existentielle peut être mise de côté pendant de longues années. Mais arrive un âge, l’âge de la retraite où cette question se fait plus criante.

La vie n’est plus rythmée par le travail ou par les enfants devenus grands, si cette question : « pour quoi je me lève le matin, » ne s’est pas posée jusqu’alors et bien la personne peut se retrouver dans une période de flottement. Elle se cherche, réfléchie aux activités qui lui plairait, essaie, abandonne, tente un nouvel essai. Cette période peut durer quelques mois voire des années.

Il n’y a pas de « bon » âge pour se poser ce genre de questions. L’important est d’avoir ses propres réponses qui donnent sens à notre vie.